Les différents spectacles avec Cristóbal Corbel:
Cristóbal Corbel (en Groupe ou en Solo)
Cristóbal Corbel interprète les différents thèmes de son disque « Poema de Luna » ainsi que des titres inédits.
Un spectacle empli d’émotion, intimiste et authentique.
Dans Incarnat, Emmanuelle Martin (chant carnatique) et Cécile Evrot (chant flamenco) déploient l’héritage qu’elles ont reçu de leurs maîtres et explorent la façon dont il nourrit aujourd’hui leur identité musicale et leurs créations. Elles ont en commun la rencontre, à l’adolescence, avec une tradition musicale venue d’ailleurs qui va bouleverser le cours de leur vie. Accompagnées de Cristóbal Corbel à la guitare flamenca et de Venkat Krishnan au mridangam (percussions du sud de l’Inde), elles entremêlent leurs voix, leurs mesures rythmiques, brouillent les pistes d’une tradition à l’autre et font surgir des compositions inédites
Tablao Flamenco (du trio au sextet)
Le « tablao » est un lieu convivial où la proximité avec les artistes procure une immersion totale dans un flamenco authentique. Quand la grâce de la danse et la fougue du chant tourbillonnent au son des guitares andalouses, le silence s’impose de lui-même dans l’assemblée, on retient son souffle et notre coeur bat « a compás » jusqu’au « remate » final où l’enthousiasme est à son comble et où l’on salue le duende avec un ¡olé!
« Noche ne Sevilla » est un dialogue entre danse et musique flamenca. Le quatuor n°1 en ré mineur op. 4 « de la guitarra » de Joaquín Turina, inspiré de la musique populaire espagnole, et notamment du flamenco, se révèle formidablement aux côtés des musiciens flamenco. Certains thèmes de Joaquín Turina appellent la danse, le chant et la guitare flamenca, et semblent avoir été composés pour se retrouver une nuit à Séville.
Un spectacle en trois tableaux de la Cie Flamenca Manolo Punto. « Cabaret Flamenco » nous refait vivre l’ambiance des cabarets à Séville, avec au moins quatre danseurs et danseuses sur scène, un ou deux chanteurs et un musicien.
On ne sera pas étonné, s’agissant d’une musique aussi intense, de constater que le flamenco possède des genres directement liés au religieux, faisant appel à des textes spirituels. Ainsi, la saeta, prière adressée à Dieu, est une pièce chantée pour Pâques qui se popularisa vers 1840. Les villancicos, dont les versions qu’on entendra sont les plus anciennes, et les campanilleros, style que le flamenco reprit dans les années 1930, célèbrent la Nativité.
D’autres pièces revêtent un caractère religieux selon le contexte dans lequel elles sont jouées : on peut écouter les Sevillanas et les fandangos lors des fêtes patronales par exemple. Les Sevillanas bíblicas, plus particulièrement, sont de véritables chants liturgiques, utilisés au XVIIIe siècle par les Pasteurs pour évangéliser les populations andalouses. En oubliant les cérémonies elles-mêmes, il est intéressant de voir que différentes œuvres flamencas, pour exprimer la souffrance ou exalter des sentiments forts, évoquent des figures religieuses.
Paco el Lobo, accompagné du guitariste Cristobal Corbel, nous propose d’explorer ce répertoire injustement méconnu de la grande nébuleuse du flamenco, et avec l’épure que le caractérise, met en lumière la ferveur spirituelle de ces chants sacrés flamencos.
Dans la sierra andalouse, une coutume voulait que, quand une femme sentait la mort venir, elle brodait un coussin en forme de coeur qu’elle remplissait de morceaux de papier sur lesquels étaient écrits ses secrets. À sa mort, sa fille ainée en héritait avec l’interdiction absolue de l’ouvrir…mais le destin en a décidé autrement, car dans la chambre de Lola Cam, un coeur a éclaté… celui de son aïeule Inès Dolores. La transgression de l’interdit lui ouvre un passage de l’autre côté d’un miroir au reflet toujours terne, car Lola n’est pas heureuse. Seule la connaissance pourra lui offrir une renaissance…
Libre adaptation du roman Les Roses fauves de Carole Martinez. Adaptation théâtrale et composition musicale d’Estelle Andrea. Mise en scène d’Estelle Andrea et Magali Paliès. Chorégraphies de Karine Gonzalez. Création lumière d’Anne Gayan. Costumes d’Alice Touvet. Collaboration artistique Marine Garcia-Garnier. Avec Estelle Andrea et Magali Paliès (chanteuses-comédiennes), Karine Gonzalez (danse) et Cristóbal Corbel (guitariste).
Raphaël Faÿs (Jazz manouche & flamenco)
Musicien issu du jazz manouche, dans la pure lignée de Django, Raphaël Faÿs se joint au guitariste flamenco Cristóbal Corbel.
Un pont musical entra Django et Paco de Lucía.
Anne Plantagenet, accompagnée de Cristóbal Corbel à la guitare, nous font revivre le temps d’une lecture enflammée, l’amour sensuel et tragique de Manolete et Lupe Sino, de leur rencontre jusqu’à Linarès…
Paco El Lobo, môme fugueur, a reçu les formes les plus anciennes des vieux flamencos qui habitaient Santa Ana, à Madrid. Il commence en solo par un tanguillo dédié à l’un de ses maîtres disparus, Maestro Chano. Puis la Farruca pour le Maestro Ramón.
Virtuosité aussi contrôlée que le son, énergie exacte, et cette belle gueule d’ange gitan aux boucles noires. Tobal, le second guitariste, entre en piste sur une granaina, le style propre à Grenade, et Veronica, danseuse, sur un jaleo intiulé Lily. Les formes qui constituent le flamenco, on en dénombre une soixantaine, et pour chacune, une infinité de déclinaisons, selon les villes, les accents, les personnalités ou le vin que l’on boit.
Joccubata (jazz / tzigane)
Une formation musicale de 4 artistes issus de divers horizons musicaux , rassemblés pour un amour commun de la scène et de la musique tzigane teintée de couleur flamenca.